CDRP 64 – Réunion annuelle des baliseurs

En club de randonnée responsable et engagé, Euskal Rando met à disposition du Comité Départemental de la Randonnée Pédestre des Basses-Pyrénées (64) deux baliseurs certifiés, Gilbert Gaujé et Pierre Rumeau.

Le balisage est un acte majeur du monde la randonnée, qui permet à des milliers de randonneurs de parcourir nos sentiers en toute confiance. Le job de baliseur consiste, en binôme, sur une portion de sentier GR ou GRP attribuée, à peindre des balises en blanc et rouge (le bleu et blanc est à l’étude) aux endroits stratégiques des chemins pour guider les randonneurs et leur éviter les fausses routes.

Ce message est l’occasion de faire appel aux bonnes volontés au sein d’Euskal Rando : DEVENEZ BALISEUSE ou BALISEUR, vous rendrez service aux randonneurs et serez la fierté d’Euskal Rando, tout ça bénévolement ! Pour les détails, n’hésitez pas à en parler à Gilbert ou Pierre.

Ils ont participé le 4 février dernier à la réunion annuelle des baliseurs du 64, voici leur compte-rendu.

Réunion Annuelle des Baliseurs – 2023

Organisée par le CDRP64 , à Bérenx – 64300 le Samedi 4 Février 2023.

Participants Euskal Rando :

Pierre Rumeau

Gilbert Gaujé

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Remise du matériel

Désignation des binômes

Attribution des secteurs à baliser en 2023.

Présentation des nouveaux Baliseurs – Promo 2023 

16 Baliseurs, formés à Izeste, rejoignent l’effectif départemental de 120 Baliseurs.

Piqûre de rappel à propos des instructions de base (cf : le bêtisier du balisage !)

règle : « TLA – TLB »   ( Tous Les Ans – Toutes Les Balises …. )

Les incidents de parcours sont remontés au Conseil Départemental, lequel est censé assurer l’entretien des sentiers via des Assos d’insertion.

Le travail de balisage est valorisé à hauteur de 67.500 € annuels en heures de bénévolat. (merci au Mouvement Associatif …. )

Le GR 8 « littoral » est tracé de La Barre à Anglet à Hendaye (petites plaquettes sur des balises).

La CAPB fait la promotion d’un GR Pays Basque : boucle de 140 Km empruntant le GR 8 modifié et le GR 10 : de La Barre à Hendaye , puis le GR 10 vers Biriatou et remontée au Nord Via Cambo et la Nive , retour à La Barre.

Info sur les modifications du GR 10 pour nous :

Retour au tracé ancien du GR 10 à Biriatou because chantier de remplacement de 3 pylônes de la ligne HT 400 000 V.  (durée inconnue)

Modif à Bidarray vers Iparla.

La numérisation des itinéraires avance grâce à 27 « Baliseurs – Collecteurs » (la Fédé embauche ! —-> stage de formation au GPS à venir)

Règle : la FFR est propriétaire des itinéraires, lesquels sont transmis à l’IGN .

Numérisation du GR78 terminée, en cours GR653 et GR10.

Présentation du Logiciel Ma Rando, téléchargeable.

Gratuit (sauf fond de carte Scan25 IGN à 13,99 €/an .)

4000 itinéraires dont 22 pour le Dpt. 64 (montée en puissance à venir )

Avantage par rapport aux logiciels du marché (Visorando et autre …. ) —>  les itinéraires sont garantis par la Fédé !!!  (les ex-naufragés d’Urepel apprécieront ! )

Promotion des TopoGuides de la FFR, notamment Le Pays Basque … à pied.

Pas de chiens en liberté en montagne

Le journal Sud-Ouest publie dans son édition Pays-Basque du 7 janvier 2023 un dossier sur les attaques subies en montagne par les brebis de la part de chiens non maîtrisés. Voir l’article ci-dessous. Euskal Rando participe à ce dossier, en apportant son soutien aux éleveurs qui entretiennent la montagne que nous parcourons et qui, ce n’est pas rien, contribuent à l’approvisionnement alimentaire de la population. Euskal Rando appelle au partage de la montagne (bien commun) en toute intelligence. Dans ce domaine comme dans d’autres, ça passe par le nécessaire civisme dont doivent faire preuve les randonneurs en gardant leurs chiens en laisse, en ramassant leurs déchets, en évitant d’effrayer ou de déranger les troupeaux, etc … et aussi par celui dont doivent faire preuve de leur côté les éleveurs  en permettant le passage des randonneurs dans leur territoire sur des sentiers sécurisés et en retenant leurs propres chiens pour éviter qu’ils n’aillent grignoter les mollets de randonneurs innocents, certains de nos euskalrandonneurs en ont fait l’expérience. Longue vie à une montagne préservée et à ses usagers respectueux.

 

Ibardin par Jakintza

Les randonneurs du G2 qui, de retour aux voitures, ôtaient leurs godillots lundi 19 décembre après une marche apéritive sur les hauteurs ventées du Mandale au-dessus d’Ibardin, ont croisé un aréopage d’érudits et d’élus, bouquin en mains pour les uns, baguettes de sourciers en action pour d’autres. Que venaient-ils faire là ? Ce n’était pas des inconnus. Le béret cèpe de Bordeaux de Philippe Aramendi, maire d’Urrugne, se reconnait de loin. La présence de Paul Badiola, ancien maire de Donibane Lohitzun et infatigable fouilleur d’histoire, et son compère Guy Lalanne, féru d’histoire basque (faut l’écouter raconter les histoires de trains sur le BAB) et président de l’association Jakintza (de « jakin » qui veut dire « savoir » en euskara) laissait augurer un évènement historique. Que le maire de Vera de Bidassoa complète le cartel, le sujet du jour devait se trouver quelque part sur la frontière.

Et, effet, la petite troupe était là pour présenter le dernier opus édité par Jakintza, « Ibardin – Bidassoa, de la protohistoire à nos jours », compilation d’éléments patrimoniaux et de témoignages de civilisations passées, pastorale et minière, sans oublier les inévitables conflits de voisinage. En guise de démonstration, par un croisement soudain, les baguettes magiques de Guy Lalanne ont révélé la présence d’une sépulture enfouie en bordure du parking supérieur d’Ibardin, pile poil au départ du sentier vers le Mandale.

Ce livre (et d’autres, notamment sur La Rhune), riche de culture et important pour que nos esprits de randonneurs restent sains dans nos corps sains, est disponible sur internet (jakintza.fr) ou lors des permanences au siège de Jakintza, 27 quai Maurice-Ravel à Ciboure, chaque samedi de 10h à midi. Qu’on se le dise !

En détail, l’article publié en suivant par Sud-Ouest : Ibardin

 

Iraty en hiver

Ira t-y ? Ira t-y pas ? Envie de montagne à une encablure de la côte ? Besoin de prendre l’air vif de l’hiver en altitude parce que la pollution urbaine vous soûle ? Vous avez dit soûle ? Alors Iraty est à vous.

A 1300m, au pied du Pic d’Orhy (premier 2000 des Pyrénées en venant de New-York), le site d’Iraty avec ses forêts, ses sentiers de rando, ses pistes de raquette, ses circuits pour ski de rando vous attend.

https://www.nouvelle-aquitaine-tourisme.com/fr/biarritz-pays-basque/amoureux-de-la-montagne-rendez-vous-au-pays-basque-cet-hiver

https://neige.tourisme64.com/raquettes/iraty-montagne-basque/

Ski & Raquette

Randonner en hiver

La Fédération Française de Randonnée Pédestre se préoccupe de notre santé et de notre bien-être pendant cette période hivernale où on aurait plus envie de coucougner au coin du feu que de se geler les … pieds sur les sentiers. Mais nous, vaillants randonneurs d’Euskal Rando, ne sommes pas du genre à nous calfeutrer. Voici donc quelques conseils avisés pour sortir dans le froid humide.

Conseils pratiques pour bien randonner en hiver, en dehors du milieu montagne

Les données à intégrer :
– Les journées sont plus courtes.
– Il fait plus froid. On tiendra compte de la température et du vent qui en aggrave considérablement les effets.
– Les précipitations de pluie ou de neige sont plus fréquentes et surtout les vêtements mouillés ne sèchent pas.

Les précautions qui en découlent :
– Prévoir son itinéraire de manière à rentrer avant la nuit.
– Bien se couvrir, c’est-à-dire :

  • Privilégier le système des 3 couches, de la peau à l’extérieur : une couche qui évacue la sueur, une couche isolante, une couche coupe-vent et si possible imperméable.
  • Bonnet pour la tête, foulard.
  • Des gants chauds et imperméables ou mieux des moufles.
  • Des chaussures imperméables à membrane respirante, que l’on évitera de serrer plus que nécessaire.

– Enfin, emporter un change chaud et sec, bien à l’abir dans un sac plastique car votre sac à dos ne l’est pas.

La bonne pratique :
– Marcher à son rythme, moins vite qu’en été ; se déshabiller dès que l’on a chaud et se revêtir aux arrêts.
– Grignoter fréquemment et absorber si possible des boissons chaudes.

Ne surtout pas oublier :
1. Téléphone portable avec le n° des secours : 112
2. La couverture de survie.
3. Un sifflet, pour appeler plus aisément en cas de besoin.

Randonner l’hiver montagne exclue

Il est possible, et même souhaitable de randonner tout au long de l’année, afin de maintenir une bonne condition physique, et ne pas perdre l’acquis de l’endurance accumulée durant la belle saison. Nous allons nous occuper ici de la randonnée tous terrains en excluant volontairement la randonnée en montagne durant l’hiver. Cette dernière, imposera des conditions plus rudes, et entraînera des complications beaucoup plus sévères. Nous traiterons de la randonnée en montagne l’hiver dans un autre exposé.

Photo randonner en Hiver

Bref rappel physiologique

Quelle que soit la température ambiante, l’organisme va toujours essayer de maintenir sa température centrale aux alentours de 37° ; lorsque celle ci s’abaisse on dira qu’il y a faillite de la régulation et hypothermie ;

Pour lutter contre le froid :
– L’organisme essayera de diminuer sa déperdition de chaleur par une bonne protection vestimentaire ; il va réduire le calibre des vaisseaux qui amènent le sang chaud aux extrémités comme les mains et les pieds afin de limiter encore cette perte de chaleur.
– Il va aussi essayer d’augmenter la quantité de chaleur produite. Le frisson est un moyen mais faible, par contre en augmentant son activité, il produit une quantité de chaleur conséquente, puisque 75% de l’énergie produite pour fournir l’effort est transformée en chaleur.

Quelles sont les caractéristiques spécifiques de la randonnée en hiver ?

1. Les journées sensiblement moins longues : elles nous imposent de réduire nos itinéraires, afin d’éviter de rentrer à la nuit tombée ; il devient alors plus difficile de se repérer, et la température extérieure va décroître plus vite au moment ou l’organisme qui a fourni l’effort de la journée, fatigue et diminue ses résistances.

2. Il fait plus froid : La température extérieure est plus basse, il n’est pas rare d’observer au moins le matin et le soir, des températures négatives. Et puis il est une notion importante à intégrer tout de suite : la température n’est pas le seul indicateur de froid : les mouvements de l’air, le vent en particulier majore considérablement ce phénomène. Un thermomètre à l’abri indiquera une température toujours supérieure que le même instrument exposé au vent. Une règle grossière nous indique que la température décroît de manière proportionnelle à la racine carrée de la vitesse du vent en Km/h : si, par exemple, la température à l’abri est de 10°, et si le vent souffle à 25 Km/h, ce qui n’est pas exceptionnel, la température ressentie dans ces conditions sera 5 fois plus basse c’est à dire, 2° ! On n’ose même pas envisager les températures négatives…

3. Il fait plus humide, il peut pleuvoir, neiger : en fait l’humidité ambiante n’est pas un facteur d’aggravation du froid. Par contre l’humidité des vêtements, que cela soit du à la sueur, aux précipitations va entraîner une déperdition de chaleur très importante par convection.

Quels sont les risques encourus ?

1. Se perdre si la nuit est tombée et que l’on ne connaît pas bien son itinéraire.

2. Etre l’objet des complications dues au froid : l’hypothermie ou baisse de la température centrale, les troubles des extrémités à type d’onglée, d’engelures, exceptionnellement de gelures, puisque, on l’a vu, du fait de la vasoconstriction des vaisseaux des extrémités, s’il y a moins de déperdition de chaleur, ces extrémités en reçoivent moins et sont par ailleurs moins bien approvisionnées en oxygène et éléments nutritifs.

Photo randonner en période hivernale Comment éviter ces ennuis ?

1. Bien préparer sa randonnée :
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Le parcours doit se terminer avant la tombée de la nuit,
– Il doit éviter les passages par des endroits exposés au vent.
– Enfin, il ne faut pas hésiter à renoncer dans le cas de conditions météo véritablement épouvantables.

2. Soigner son équipement vestimentaire :
– Se vêtir correctement : chaudement au départ de la randonnée, il ne faudra pas hésiter à ôter des vêtements des que la chaleur produite par le corps devient importante et occasionne une gène ; au contraire, il faut tout de suite se recouvrir lors des pauses ou arrêts.
– L’idéal en matière de protection vestimentaire : le système des 3 couches.
– Un vêtement hydrophobe, c’est à dire qui évacue la sueur, contre la peau,
– Un vêtement isolant, qui emprisonne bien l’air entre ses fibres ; ex : laine polaire,
– Enfin un vêtement coupe vent et si possible imperméable mais respirant.

3. Prendre un soin particulier des extrémités et parties exposées :
– Le bonnet ou la casquette protégeront la tête dont la peau très vascularisée peut laisser échapper une grande quantité de chaleur.
– Les gants seront isolants et recouverts d’un tissus qui assure une certaine imperméabilité en cas de précipitation ; des sous gants en soie ou matière isolante peuvent être utilisés chez les sujets plus sensibles ; ces derniers auront une meilleure protection s ils  utilisent des moufles.
Si les gants sont mouillés, ils perdent non seulement leur pouvoir isolant mais augmentent de manière importante le refroidissement par conduction ; il sera alors souhaitable d’en changer si l’on a pris la précaution d’en prendre une autre paire sèche, sinon les enlever et protéger ses mains du mieux possible(poches, sous les aisselles….).
– Les chaussettes, à bouclettes en laine ou matière moderne à fort pouvoir isolant, seront surtout maintenues le plus sèches possible grâce au port de chaussures à membrane respirante mais étanches. Les chaussures de randonnée seront soigneusement rangées après avoir été nettoyées et reçu les traitements spécifiques à la matière les composant ; les chaussures modernes sont en principe imperméables et respirantes.
– Emporter dans son sac, des vêtements de rechange chauds et surtout secs, rangés eux meme dans un sac étanche (sac poubelle), les sacs à dos sont rarement imperméables.

4. Conseils plus !
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La couverture de survie : très utile en cas d’accident, elle peut nous permettre de parfaire un abri en cas de survenue de très mauvais temps.
– L’alimentation : riche en sucres lents la veille, il ne faut pas hésiter à grignoter plus souvent, car on consomme plus l’hiver en randonnée et on fatigue plus vite.
– Un thermos avec une boisson chaude sera le bienvenu pour réchauffer le corps …et le cœur !

Comment reconnaît-on une hypothermie et que faire ?

Elles sont loin d’avoir le caractère parfois gravissime que l’on va retrouver en montagne, il faut cependant savoir les reconnaître. L’individu est le plus souvent pale, fatigué il avance difficilement, parfois somnolent, souvent désintéressé par son environnement. Il y a faillite de ses possibilités de régulation. Il faut alors l’aider à rejoindre le plus rapidement possible un endroit ou la température est plus clémente voire confortable, le mettre au repos et lui faire boire des boissons chaudes( thé, soupes…), jusqu’à ce que son organisme soit capable de fabriquer à nouveau la chaleur qui lui est nécessaire.

Et les extrémités, les mains les pieds ?

Dès que l’on a des sensations de froid au niveau des extrémités, on vérifie que les gants ou chaussettes sont bien secs, que les doigts et les orteils ne sont pas trop serrés. Si il s’agit des mains, des moulinets permettront à une meilleure circulation de s’établir avant de les glisser sous les aisselles. La non plus nous ne parlerons pas de gelures graves. Toutefois l’exposition au froid et à l’humidité peut entraîner au niveau des doigts et des orteils des « onglées », des gelures superficielles, des engelures .

Les doigts sont froids, pales, gourds, leur sensibilité diminuée. Le réchauffement devra se faire de manière progressive, en évitant de les mettre sur le radiateur ou en les immergeant dans de l’eau chaude. La circulation se rétablit, les doigts deviennent roses sinon rouges ; cette phase de réchauffement même progressive est souvent transitoirement douloureuse.

Du plomb dans l’aile

Attention à vos plumes quand vous cheminez sur les chemins de randonnée ! Même sur des sentiers très fréquentés comme les pentes du Xoldokogaina, on n’est pas à l’abri de prendre du plomb dans les fesses, voire beaucoup plus grave.

https://www.francebleu.fr/infos/faits-divers-justice/deux-randonneurs-blesses-par-un-chasseur-sur-un-sentier-a-urrugne-1665764735

Dans le doute, ne vous abstenez pas ! En période de chasse à la palombe, la stratégie est claire : évitez les randos qui vous amènent vers les cols et les postes de chasse.

En période d’autres chasses, signalez vous, faites du bruit, portez des vêtements visibles.

Dans tous les cas : faites gaffe !

En randonnée aussi le caoutchouc protège

Si nous étions un sentier de randonnée, que dirions-nous de recevoir à longueur d’années les millions de piqûres infligées par les bâtons des randonneurs qui nous sillonnent ?

Bâtons bien utiles pour assurer la sécurité des marcheurs, soulager les muscles des jambes et rythmer le pas. Mais bâtons dont les pointes métalliques agressent les sentiers comme autant de banderilles.

Certains sentiers, en particulier littoraux, sont dégradés voire menacés par la multiplication des plantés du bâton, victimes du succès grandissant de la randonnée pédestre.

Certaines communes bretonnes comme Belle-Île en Mer ou Crozon ont pris des arrêtés municipaux interdisant l’usage de bâtons de marche à pointes métalliques sur leur territoire : https://www.belle-ile.com/organiser/randos-activites-loisirs/randonnees-et-balades/ exigeant que les pointes soient insérées dans des embouts en caoutchouc,

Soucieux de préserver la nature et de veiller à la bonne conservation de nos sentiers du Pays-Basque tout en reconnaissant l’apport indéniable des bâtons de marche, pourquoi n’adopterions-nous pas cette bonne pratique sans y être contraints ? Ce serait une belle contribution d’Euskal Rando.

Équipez donc vos bâtons d’embouts en caoutchouc, en randonnée aussi le caoutchouc protège.

Corniche : Sentier du littoral

Suite aux éboulements des falaises (qui ne devraient pas cesser de si tôt), le Préfet a interdit en novembre 2021 l’accès au sentier du littoral sur la corniche basque entre Socoa et Abbadia

Le Département a travaillé à une solution de repli temporaire, davantage à l’intérieur, qui est désormais ouverte. Tracé ci-joint.

Merci de respecter les interdictions de passage sur l’ancien sentier.

 

Ambulances Le Gascon

On a toujours besoin d’un Le Gascon chez soi. Une entorse ? Le Gascon vous embarque à carcaillotte. Hue dada !